Peints en 2016, ces trois tableaux font partie d’un ensemble de douze tableaux acryliques, de couleurs et de formats différents.

On remarque la présence de traces d’écritures mathématiques sur ces tableaux.

Il s’agit d’équations élaborées à partir de quatre points principaux, situés en quatre endroits bien particuliers du tableau.

Ces quatre points font explicitement référence aux quatre notes musicales du célèbre motif B-A-C-H de l’Art de la Fugue de Jean-Sébastien Bach.

Quatre des douze tableaux de cette série ont déjà été vendus. Les huit restants sont disponibles pour la vente.

Le bénéfice de la vente de ces tableaux sera consacré à mon projet de création d’une Fondation pour les Arts et les Mathématiques.

Peints en 2015, ces deux tableaux font partie d’un ensemble de douze tableaux de formats identiques inspirés par le quatuor à cordes Opus 28 d’Anton Webern.

Ce quatuor à cordes est basé sur une série de douze notes (une série dodécaphonique), elle-même construite à partir du motif B-A-C-H mentionné dans le commentaire des trois tableaux n°1, 2 et 3 ci-dessus. C’est la raison pour laquelle de multiples allusions au nombre 12 sont évoquées sous la forme de traces d’écriture mathématiques gravées sur le tableau.

À noter que ces tableaux ont été utilisés sur les couvertures d’une collection de brochures d’exercices de mathématiques, que j’ai rédigées durant la décennie 2006-2015. Ces brochures sont diffusées depuis 2019 par les éditions Loisirs et Pédagogie.

Deux des douze tableaux de cette série ont déjà été vendus. Deux sont conservés dans ma collection privée. Les huit restants sont disponibles pour la vente.

Comme pour les tableaux n° 1, 2 et 3, le bénéfice de la vente de ces tableaux n°4 et 5 sera consacré au financement de mon projet de création d’une Fondation pour les Arts et les Mathématiques.

Peint en 2017, ce tableau fait partie d’un ensemble de deux fois vingt-quatre tableaux acryliques, de couleurs et de formats différents.

Chaque tableau est consacré à un nombre particulier. Sur le tableau présenté ici, il s’agit du nombre 877.

Les nombres vont de 846 à 869 pour la première série de vingt-quatre tableaux, conçue pour être vendue en un seul lot, comme un concept unique, alors que les numéros de la seconde série vont de 870 à 893, pour un ensemble de vingt-quatre tableaux conçus pour être vendus de manière indépendante, à la pièce ou par petits ensembles, au choix de l’acheteur.

Les amateurs de la musique de Jean-Sébastien Bach auront certainement reconnu les numéros du catalogue BWV correspondant aux Préludes et fugues des deux cahiers du célèbre Clavier bien tempéré de celui qu’on appelle souvent le “Cantor” de Leipzig.

Le second “Cantor”, évoqué dans le titre de cette série, est moins connu du grand public. Il s’agit d’un mathématicien de la fin du XIXème siècle, Georg Cantor, à qui l’on doit notamment la théorie des ensembles et, au travers d’un théorème portant son nom, la preuve qu’il existe plusieurs sortes d’infinis dans l’univers des mathématiques.

Plusieurs allusions à ce théorème sont indiquées par des écritures mathématiques en haut et en bas du tableau.

On remarque également (première ligne tout en haut du tableau) une allusion à la manière la plus simple de concevoir l’infini (appelé infini “dénombrable” par les mathématiciens), consistant à compter les nombres entiers sans jamais s’arrêter, comme le fera pendant plusieurs décennies l’artiste Roman Opalka (1931-2011) dans ses tableaux, où les suites de nombres passent d’une œuvre à la suivante. Ce principe conceptuel est utilisé ici de manière analogue, puisque le haut des quarante-huit tableaux de cette double série montre une suite de nombres entiers ininterrompue.

Ces deux “Cantor”, auxquels cette série de tableaux rend hommage, nous rappellent, chacun à sa manière, la vertigineuse énigme de l’infini : l’un par l’émotion habitée et communicative de ses fugues grandioses, l’autre par la force intellectuelle de ses théories novatrices.

Il s’agit là de tableaux plus récents, peints en 2024. Ces trois tableaux font partie d’une série de douze tableaux de formats identiques, alternant les couleurs métalliques or, argent et bronze.

Ces tableaux font référence au mariage de l’actrice française Brigitte Bardot et de l’industriel suisse et allemand Gunther Sachs en 1966, à Las Vegas.

Trois des tableaux de cette série ont déjà été vendus. Il en reste neuf disponibles pour la vente.

Ces tableaux ont la particularité de contenir des messages cryptés au moyen d’un système de cryptage que j’ai appelé © CODE BACH. Ce système de cryptage a été déposé en tant que marque depuis 2022.

Pour ce qui concerne ces trois tableaux, le cryptage s’est effectué par le moyen de petits points sur les côtés. Si le point est creux, il s’agit d’un symbole pour le chiffre 0, alors que si le point est plein, il s’agit d’un symbole du chiffre 1. On remarque qu’il y a des séries de cinq points alignés, qui symbolisent ainsi des nombres à cinq chiffres en écriture binaire, bien connue pour être l’écriture standard de l’informatique, du cryptage, de la blockchain, et de manière générale de toute la technologie contemporaine, jusqu’aux dernières avancées de l’intelligence artificielle. En base binaire, ces séquences de cinq chiffres permettent de disposer de 32 caractères différents.

Cependant, la traduction de ces séquences binaires en lettres n’est pas immédiate, dans le sens que le nombre 10 (la séquence binaire 01010) ou le nombre 18 (la séquence 10010) ne correspondent pas forcément aux lettres J (10ème lettre de l’alphabet) ou R (18ème lettre de l’alphabet). C’est plus compliqué que cela car les messages sont cryptés et il est nécessaire de connaître à la fois les procédés de cryptage et les clés de cryptage (comme un code PIN) pour déchiffrer le message afin de pouvoir le lire en clair.

Sur ces tableaux, le code PIN est symbolisé par des petits trous sur le bord des cartes de poker.

Sans dévoiler pour le moment l’intégralité des messages cryptés dans ces tableaux, je précise simplement qu’il y a au moins deux messages importants à décrypter (il y en a en réalité plus que deux) : l’un concernant Brigitte Bardot, l’autre son mari Gunther Sachs.

Ces tableaux cryptés, comme un certain nombre d’autres de mes tableaux récents, feront l’objet au cours des prochains mois de concours sur internet, des concours avec des prix pour le premier qui parviendra à craquer les messages.

Je vais bientôt commencer la recherche de partenaires sponsors pour lancer publiquement de tels CRYPTO CHALLENGES.

Certainement la série de tableaux la plus immédiatement accessible et ludique.

Pas besoin ici de se prendre la tête avec des références culturelles complexes, musicales, mathématiques ou historiques.

Même si le processus de cryptage reste sophistiqué et rigoureux en termes de mathématiques (il s’agit du ® CODE BACH), ces tableaux peuvent être considérés simplement comme un jeu élaboré autour du portrait de son animal préféré, chat ou chien.

Un double message est en effet crypté dans chaque tableau.

Tous les tableaux de cette série comportent le message crypté “I LOVE MY PET”.

La moitié d’entre eux contient un second message “I CARE MY DOG” alors que l’autre moitié contient le message “I CARE MY CAT”.

Ces deux tableaux font partie d’une série de douze tableaux acryliques de mêmes formats, peints en 2022. Ces tableaux sont déclinés dans des couleurs vives allant du bleu au jaune, en passant par le vert, le fuchsia, le rouge et l’orange.

L’acheteur choisit évidemment lui-même l’image qu’il souhaite placer au centre du tableau : une photo de son chien ou de son chat, en couleur ou en noir et blanc, de face ou de profil, selon son envie.

Cette image est à insérer dans un petit cadre rond fixé au centre du tableau, cadre qui se dévisse et se revisse très facilement.

Tout le contraire des chats et des chiens ci-dessus : ce diptyque, peint en 2023, est le plus complexe, le plus étrange, le plus exigeant culturellement, et aussi le plus cher de toutes les œuvres présentées dans cette sélection de douze tableaux.

Les messages cryptés renvoient autant au monumental roman À la Recherche du temps perdu de Marcel Proust qu’au troisième acte de l’opéra Parsifal de Richard Wagner.

Par ailleurs, son titre fait explicitement référence à une seconde marque commerciale que j’ai déposée en 2023. Il s’agit de la marque ® LET’S GO ART GALLERY.

Cette marque constitue la première étape d’un projet de galerie internationale que je souhaite mettre en place dans les mois à venir, en lien avec cette identité, avec la marque ® CODE BACH, et avec les formules mathématiques que j’utilise pour fixer le prix de mes tableaux cryptés, faisant d’eux de véritables “produits financiers”, porteurs d’un fort potentiel spéculatif (voir ci-dessous).

Ce projet nécessitera la présence de partenaires-investisseurs chevronnés, que je commence à chercher.

Projet très ambitieux !

Projet à suivre !

Depuis quelques années, j’ai choisi d’assumer pleinement une stratégie spéculative : le prix de mes tableaux est calculé à partir de formules mathématiques rigoureuses, faisant de chaque œuvre un véritable “produit financier” destiné aux marchés spéculatifs.

Concrètement, il existe deux catégories de prix, selon que le tableau contient ou non. des messages cryptés à l’aide du ® CODE BACH.

Fondée sur des modèles mathématiques cohérents et irréprochables dans leur logique interne, cette approche du prix de vente place chacune de mes œuvres dans une dynamique de rareté, de calcul et de projection.

Cette démarche originale s’adresse par conséquent à des collectionneurs et investisseurs exigeants et curieux, prêts à assumer des prises de risque, et intéressés par une approche financière rigoureuse offrant un fort potentiel de retour sur investissement à moyen et long terme.

Cliquer sur l’image pour voir un exemple : il s’agit de l’évolution du prix de vente d’un tableau crypté de dimensions 60 cm x 50 cm au cours de la période 2023-2028. Ces dimensions sont celles des tableaux “WEDDING IN LAS VEGAS” présentés sur cette page en tant que tableaux n°7, 8 et 9.